Imaginez.
Plus d’électricité.
On allume des bougies partout dans la librairie.
Vingt minutes de silence.
Un roman qui se lit et qui s’écrit
à la bougie.
C’est pourquoi personne n’y comprend rien.
J’ai procédé mercredi à la reconstitution des faits qui se sont produits au moment du crime. La déclaration du détenu avait l’air de se tenir (elle avait l’air).
Ses aveux, d’autre part, avaient été complets. Pourtant, pour moi, l’affaire n’est pas terminée.
J’ai encore quelques points de détail à éclaircir.
Alors, rendez-vous mercredi 11 mars 2020 à partir de 19h30 à la librairie La Belle lurette (26, rue Saint Antoine) pour une deuxième « Soirée d’Hélène » pour une soirée entièrement consacrée à Vingt minutes de silence.