« Car l’écriture tient en effet les deux rives en présence l’une de l’autre, et ne tient qu’à cela, au risque d’être engloutie par l’océan qui les sépare, alors que la séparation était le mouvement nécessaire au re-commencement, à ce fond plus profond peut-être que le fond du souvenir, qui revient à la surface. »
